Les Violons Barbares embrasent la scène à coups d’archets furieux et de percussions sauvages, laissant chaque fois derrière eux un auditoire médusé. Les trois musiciens partagent leur répertoire frissonnant, inspiré de croyances archaïques populaires de Bulgarie et de Mongolie, sur les traces des vampires des Carpates, de dragons séducteurs, de diable noir à quinze têtes et de démons hauts en couleurs, tous magnifiés par la mise en image en direct de Clotilde Perrin…